Vision: Créer un centre d’apprentissage, de formation, d’entraide et de collaboration axé sur l’expérimentation dans l’art de construire afin de trouver des solutions alternatives pour satisfaire nos besoins indispensables à la survie, soi respirer, boire, manger, se protéger du froid et de la chaleur…et voir autres besoins plus bas!
Mission: ré-apprendre à vivre en harmonie avec la nature.
Philosophie: L’humanité a oublié l’intelligence de la nature et en général nous nous sommes complètement déconnecté de celle-ci avec nos croyances de la supériorité humaine et lui avons soustrait la spiritualité que nous lui accordions autrefois, créant nos propres valeurs jugeable à notre image, mais la science a finalement réussi à nous démontré clairement que nous connaissons que infiniment peu de notre réalité. Heureusement la nature, avec ces milliards d’année d’évolution peu nous instruire si nous ouvrons notre intelligence à celle-ci.
- Respirer: simple, mais O’ qu’on a oublié cette base dans le train TGV de nos vies en société. Je ne suis pas experts, et je laisserais d’autre vous guider, par contre j’apprends tranquillement à être pleinement conscient de l’air qui nous entoure, de l’écouter pénétrer dans mon corps, et de l’expirer lentement, et devient encore encore plus important lorsqu’on l’applique en travaillant ou autres activités. L’air de la forêt est tellement rempli de vies, que juste le simple fait de la respirer consciemment nous rempli d’énergie.
- Boire: L’eau de montagne filtré dans des dépôts de till glaciaire! WOW, et c’est la première installation que nous avons commencer et l’avons tester: A++. Malheureusement celle-ci s’estompe vers la fin juin/juillet dépendant des pluies, donc nous avons commencer à faire des bassins et planifions s’assurer d’en avoir à l’année. Heureusement il y a une source en chemin vers le site, mais combien plus compliqué devient cette tâche. Certes, nous aimons tous boire, et nous envisageons faire la récolte de l’eau de bouleaux, érables, et toutes autres formes de liquide que produit une forêt. Bien évidement, la transformation de ceux-ci requiert une expertise que je n’ai pas, donc bienvenue aux brasseurs artisanaux, dites nous ce que vous avez besoin et on le construiras
- Manger: L’idéal est l’auto-suffisance. Nous avons commencer l’installation d’un jardin au bas de la montagne dans le champs (pas l’endroit idéal, mais bon) avec fossé et irrigation de base et remplissage à partir de l’eau des bassins. Ceux-ci reste remplie à l’année longue. Nous avons aussi commencer une forêt nourricière (raisin, kiwi, pommier, noisetier, pèche, fraise, framboise, bleuet…), mais à très petite échelle, car encore, ceci fait parti de l’expérimentation, et on apprends. Un de nous chasse, avons essayer des canards, et sommes ouvert à explorer tous ce que la forêt peut nous fournir. On va suivre la catégorie et sujets de très proche.
- Se protéger du froid: et bien oui, on a l’hiver, et nous avons commencer sur le côté nord à cause de l’accessibilité, donc faut oublier l’utilisation du l’énergie solaire pour l’instant, mais mes approches tester est l’utilisation de la géothermie, d’énergie combustible donc le bois combiné avec l’utilisation des “Rockets Stoves” et foyers, et comme isolant expérimental: les feuilles (à refaire chaque années), des murs en cordes de bois remplie de paille et mortier style “cobb”, toiture avec cartons, et surtout la neige, qui est de loin la meilleur isolation. Nous avons encore plein de matériaux récupérés que nous planifions utilisé pour faire notre première mini-maison cet été. Les dernières hivers nous avons fait du camping (tente et sac à couchage…mais vraiment pas très idéal et encourageant de le faire souvent…C’est surtout ce besoin qui est le plus urgent à combler si nous voulons y vivre l’hiver.
- Se protéger du chaud: étant sur le côté nord à ces avantages, comme ne pas avoir à s’inquiéter de celle-ci, en pleine canicule ± 36 degrée en ville, due au bassin et au versant nord, et une protection gravitationnel, j’ai été vraiment heureux de constater que nous avions un micro climat qui tempère l’endroit et maintien ± 22 degrée:)
- Se protéger des insectes: On est en forêt avec des bassins d’eau, et des étangs (± 6 barrages de castors sur le terrain), donc, à moins d’être vraiment insensible ou quelque peu sado comme moi, oui c’est un besoin, et à long terme, les vêtements, chapeaux moustiquaires et autres protections ne suffisent pas, et ma conjointe, les enfants, mes amies, visiteurs tiennent vraiment vraiment que je fasse un ou 2 abris avec moustiquaires…vais-je les écouter, ou vont-ils ce décider à en faire???
Sans continuer plus loin dans cette démarches car je ne finirait plus, je vous décrit l’endroit et ou nous en sommes: le site c’est 110acres de forêt diversifié en région montagneuse dans le sud des Laurentides, entre Gatineau et Montréal, dans le conté d’Argenteuil à Grenville-sur-la-Rouge. Je m’avais initialement installé sur le dessus de la montagne dans une éclaircie avec une tente en permanence surplombant un petit lac, difficilement accessible pour faire du camping sauvage à l’année. Pour commencer le projet, J’ai due trouver un camp de base accessible, et le chemin carrossable étant sur le côté nord, je fit des recherches pour trouver une source d’eau, et pouvoir commencer le projet, et donc le site, loin d’être le plus prometteurs sur le terrain pour le logements permanents, est néanmoins le meilleur endroit pour recevoir les gens, et avons commencer à le développer un peu à la fois. Nous avons maintenant 4 bassins, plusieurs terrain pour les tentes, 2 bécosses, des chemins et stationnement, de l’entreposage, des jardins avec irrigations, beaucoup de matériaux récupérés pour construire, avions un toit de 1,200 pi.ca. qui doit être refait (première expérimentation grande échelle), avons acheté une pelle mécanique (à réparer) et bien d’autres.
Connexes à ce projet, il y a ma maison ancestrale que je rénove (en y habitant ) de façons artisanal avec de la récupérations, matériaux usagé et neuf, avec le but d’en faire un lieu d’entre-deux, un pied à terre (ou boite postal), soi, une auberge pour ceux qui travail au CeCe et qui n’habite pas au terrain en permanence (y pas l’eau courante ni l’électricité au terrain).
Faut noter que tous ça c’est une vocation personnel et non commercial, et à comme but d’unir nos forces pour explorer les alternatives de vie, pour améliorer notre sort collectifs, collaborer et apprendre ensemble à construire puis enseigner le tous à d’autres.
Un projet c’est une chose, découvrir quel genre de société nous voulons en est une autre, et le CeCe fait partie d’une vision encore plus large, qui est de construire un monde s’harmonisant avec la nature, une société qui tient à cœur nos futures générations en créant ce monde, montrant des alternatives concrètes à notre société de consommation actuelles.
Je vous invite à me demander des questions, car autant que ce texte est long, autant qu’il me semble n’avoir que très peu dit, et merci d’avoir prit le temps de le lire.
Le Gardien des bois